De France, sous la talonnette et les outrages de l'homoncule vociférant...
J'écris d'un pays endeuillé, sali, révulsé...
Le peuple, insulté par le Chef de l'Etat, ou du moins l'individu qui se prétend tel et qui fut élu par défaut en mai 2017 par moins d'un tiers de la population, lequel s'est disqualifié en instrumentalisant sciemment - circonstance aggravante ! - son traitement offensant et blessant de ses concitoyens, n'a pas même eu droit à des excuses officielles, fût-ce par la voix du premier ministre devant la représentation nationale...
Devant tant de vilénie et de mépris, nous ne pouvons considérer désormais que comme ennemi de la Nation celui qui a osé proférer de telles infamies. L'écho de ces éclats fangeux et nauséabonds a eu, au-delà de nos frontières un effet d'autant plus dévastateur que cet individu y apparaissait déjà comme un être vaniteux, prétentieux et imbu de sa petite personne. L'image de la France a encore pâli davantage et sa belle étoile de nation démocratique et humaniste s'est éteinte comme à Rome s'éteignit jadis la noble grandeur romaine sous le Bas Empire...
Comment vit-on ce genre de période lorsque l'Etat se comporte comme jadis le régime de Vichy en procédant à la discrimination des citoyens - car n'en déplaise à l'homoncule vociférant, les français non-vaccinés sont des citoyens à part entière avec les mêmes droits que les autres ! - ainsi qu'à leur désignation comme cibles aux quelques grincheux de sa coterie ou de sa cour décadente...
Voici deux ans, des amis des États-Unis me confiaient combien ils étaient honteux que leur pays fût entre les mains d'un individu aussi grossier et cynique que Trump, et nous avions compati à leur sincère tourment. Nous voici désormais dans la même situation qu'eux, depuis que le squatteur de l'Elysée s'est comporté comme un ado prépubère, ayant l'inconscience de prendre son élan à partir d'une boutade de feu le président Georges Pompidou... Mal lui en a pris, car le fossé entre ces deux hommes apparaît de ce fait abyssal ! L'homoncule vociférant n'a pas le millième de la sagesse ni de la culture de celui qui déclarait avec malice et bonhomie que mieux valait ne pas emmerder les français ! *
Non. Sérieusement, le problème de la destitution est désormais posé et assez logique. Sur un site ou réseau social, celui qui ne respecte pas les règles de conduite est suspendu ou radié. Il me semble que le malotru de l'Elysée ne mérite pas une moindre sanction et si ses congénères politiques n'ont pas le cran ni l'honneur de la lui infliger, les électeurs et citoyens, vaccinés ou pas, se chargeront bien volontiers de le réexpédier dans le seul espace qu'il n'aurait jamais du quitter, celui de l'oubli !! En outre, que l'on soit vacciné, non-vacciné ou agnostique en la matière, nul ne peut tolérer que pas moins de 6 millions de français soient mis au ban de la vie normale, privés de voyage en avion, en train, de restaurant, de café, de culture vivante, de spectacles ou de manifestations sportives. Car c'est bien là l'oeuvre tristissime et sinistre du tyran de l'Elysée, et ce que la postérité retiendra de son sinistre passage. Rien qu'une ombre abjecte et ricanante, prenant plaisir à sa propre vulgarité, enivrée par le mépris de ceux qui le surpassent cent fois en tolérance et en humanisme...
* Note: Le président George Pompidou s'était énervé contre un jeune fonctionnaire de 34 ans, nommé Jacques Chirac, qui voulait lui faire signer une montagne de décrets et lui avait alors déclaré: "Mais arrêtez donc d'emmerder les Français ! Il y a trop de lois, trop de textes, trop de règlements dans ce pays ! On en crève ! Laissez-les vivre un peu et vous verrez que tout ira mieux ! Foutez-leur la paix ! Il faut libérer ce pays !" Tout l'inverse, dans l'esprit, de ce que fait et dit l'énergumène ahurissant à qui les électeurs ont confié en 2017 notre pays !"
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